After having rated States, we will move on to create two new chapters for our Global Governance Index :

we will rate international organizations and institutions as well as political leaders according to two new criteria.

Après avoir noté les Etats, nous allons ajouter deux nouveaux chapitres à notre Global Governance Index :

nous allons noter les organizations internationales ainsi que les leaders politiques, que nous jugerons à l'aide de deux nouveaux critères.

Rating international organizations

After having rated governments, we will move on to create a new chapter of our Global Governance Index by evaluating international organizations or multilateral institutions.

We, Rising Stars, feel like there is another gap to fill in this area: no one has ever rated the United Nations (including UNESCO, UNDP, WHO, etc), the European Union (the European Commission, the European Court of Justice, European Court of Human Rights, Council of Europe, etc), the Organization for Economic Development and Cooperation (OECD), the African Union (AU), the International Monetary Fund (IMF), International Criminal Court (ICJ), the World Bank...

Indeed, those institutions often lack the courage, vision and effectiveness to implement necessary policies because their structure prevents them from reaching consensus, from banning member States that do not respect their commitments, from creating and implementing binding rules that will orientate the world on the right path.

Noter les organisations internationales

Dans le prochain chapitre de notre indice de gouvernance mondiale, nous évaluerons les organisations internationales et institutions intergouvernementales.

Nous, Rising Stars, estimons qu’il existe également un manque à gagner dans ce domaine: personne n’a jamais évalué les organisations internationales ou institutions intergouvernementales telles que les Nations Unies (dont l'UNESCO, le PNUD, l'OMS, etc.), l’Union européenne (dont la Commission européenne, la Cour européenne de Justice, le Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Conseil de l'Europe, etc.), l’Organisation de Développement et de Coopération Economiques (OCDE), l’Union africaine (UA), le Fonds monétaire international (FMI), la Cour pénale internationale (CIJ), la Banque mondiale...

En effet, ces institutions manquent souvent de courage, de vision et d'efficacité leur permettant de mettre en œuvre les politiques nécessaires. Bien souvent, leur structure les empêche de parvenir à un consensus, de pénaliser les États membres qui ne respectent pas leurs engagements, de créer et d'appliquer des règles contraignantes qui orienteront le monde sur le droit chemin.

Rating leaders

Behind all choices made with regards to public policy, there is a government or an organization leader who needs to have a certain number of qualities, necessary for the conduct of public affairs.

Therefore, we felt the need to assess the nature of political leadership, or more precisely, of the person who holds the greatest responsibility within the executive branch, different according to the constitutions. To do that, two criteria have been retained: vision and courage, as they embody the leaders’ commitment to acting strategically for their country rather than to satisfy their personal ambitions.
It is not the numerical assessment of a head of state that will be evaluated but their rhetoric, their projects, their ambition for their people. We will encourage those who are going in one direction approved by the people with confidence, the courageous, the visionaries. We will criticize the cowards, the weak, the pusillanimous...

Noter les gouvernants

Au-delà de toutes les politiques publiques mises en place par un gouvernement, nous estimons qu’il existe des qualités nécessaires à la conduite des affaires publiques.

Ainsi, nous avons décidé de retenir deux critères pour juger de façon qualitative des véritables chances de succès d’un leader politique: la “Vision” et le “Courage”. Ces qualités incarnent la capacité d’un leader à agir de façon stratégique pour son pays plutôt que pour satisfaire ses ambitions personnelles. Plus précisément, la personne jugée est celle qui détient la plus grande responsabilité au sein du projet exécutif, différente en fonction des constitutions. Ce n’est pas le bilan chiffré d’un chef d’état qui est évalué mais bien sa rhétorique, ses projets, son ambition pour son peuple. Nous encourageons ainsi ceux qui vont dans la bonne direction, les courageux, les visionnaires, critiquons les lâches, les faibles, les pusillanimes…